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mode 7

 

OM explique les modes 4,5,6 et 7 dans TLM, chapitre 16: ‘ces modes sont 6 fois transposables, comme l’intervalle de quarte augmentée. Ils se divisent en deux groupes symétriques. Ils sont quatre, ce qui porte le nombre total des modes à transpositions limitées à 7 / on ne peut en trouver d’autres six fois transposables, toutes les autres combinaisons divisant l’octave en deux groupes symétriques aboutissant : soit à commencer l’échelle des modes 4,5,6 et 7 sur d’autres degrés que le premier ( ce qui change l’ordre des intervalles, mais non les notes et les accords des modes ), soit à des arpèges d’accords classés, soit à des modes 2 tronqués )’

identité intervallique CM7

PC set : [ 0, 1, 2, 3, 5, 6, 7, 8 , 9, 11 ]

SI : ( 1,  1, 1, 2, 1, 1, 1, 1, 2, 1 )

IFUNC :  [ 10 8 8 8 8 8 10 8 8 8 8 8 ]

IV : <8 8 8 8 8 5>  

PF ( 0, 1, 2, 3, 4, 6, 7, 8, 9, 10 )

signatures modales

ensembles de notes unique à un mode 7 donné, par rapport aux autres transpositions du mode 7 et par rapport à toutes les transpositions des modes 1, 2, 3, 4, 5 et 6 / pour les autres combinaisons, se référer au chapitre consacré ou interroger MOLTexplorer

quelques caractéristiques

OM n’a pas beaucoup utilisé le mode 7, peut-être parce qu’il se rapproche un peu trop du total chromatique ?  MALIK MEZZADRI l’utilise beaucoup : M7 et M3 forment la matrice des MATL ( lire ‘critères objectifs et subjectifs’ et ‘MATL-ST’ )

le mode 7 est une échelle chromatique délestée d’un triton / pour atténuer la sensation de trop-plein, on peut aiguiser l’espace générant M7 par la combinaison de 2 modes-subsets / on explore ainsi le total du mode 7 en faisant cohabiter deux entités distinctes

– voir les  chapitres  ‘modes complémentaires M7’ et ‘M7 en modes hybrides’

– voir ‘xp28’ pour une autre déconstruction du mode 7 

– pour les structures du mode 7, interroger MOLTexplorer ( la liste est longue )